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samedi 13 octobre 2012





Le monde réel est très dur et contraignant. Pour un adulte, c'est très difficile, alors imaginez pour un enfant!
En s'accordant des moments de rêve, l'enfant arrange sa réalité. Il apaise et maîtrise ainsi tout ce qui peut le contrarier. L'irréel est capital pour un enfant. C'est ce qui va l'aider à enrichir, plus tard, sa vie adulte.


LUNDI Le 15 octobre, très très beau en am et pluie en pm 18 °C

Collation : Compote de pomme et poire maison. Causerie: sur le possible : qui est ce qui peut arriver, croyable, concevable et admissible et sur l'impossible: qui est le fait qui ne peut être réalisé, qui sort des limites du possible. Paraîtrait que la raison est l'outil qui permet de distinguer le vrai du faux. Donc cette semaine, on va faire mijoter nos petits hippocampis. Les mettre en réflexion d'enfant, les faire réfléchir profondément à quelque chose et faire en sorte qu'ils puissent exprimer leur pensée à leur façon. Nous allons faire des démonstrations de logique et demander comment ils se sentent devant certains personnages d'Halloween.

Pour aujourd'hui bricolage: Chauve-souris baladeuse. Un peu de découpage pour nos grands d'abord. Et du pliage de papier construction noir pour nos petits. Faire des coins à coins. Bien oui! Comme les débarbouillettes, maintenant qu'ils ont tous la possibilité de plier c'est plus facile débuter nos bricolages. Harry et Hubert leurs chauve-souris découpées, collées et terminées et Léonie commence sa chauve-souris qui sera à terminer avant son envol sur la ficelle de la colonie. Après avoir jouer avec les différentes grosseurs de yeux et coller partout sur la table, les plus petits vont en jeux libres. Le temps de changer aussi quelques couches car les grands prétendent qu'ils y a des odeurs pas trop agréables. Pi oui, 3 selles en même temps, ça ne sent pas les roses dans notre environnement. Au dîner tous en appétits et + + + On dévore les pâtes en peu de temps, notre dessert sera de prendre l'air, la température nous fait signe de sortir avant la sieste pendant que le temps le permet. Wow! Un beau 20 °C sur le balcon. Pas de manteaux et un peu de jeux libres dans les feuilles pour les amis moins amortis, Harry, Hubert et Léonie. Caleb à la dernière bouchée demande d'aller sur son matelas. Olivier observe les amis jouer de son parc devant la porte patio. Mathis et Éléonore récupèrent la suite de conversation commencée la semaine dernière dans leur parc. Vers, 14:00 les grands rentrent pour leur sieste. 15:15. Impossible de réveiller les mousses, surtout Caleb. Bien oui! Nous sommes Lundi. Je voulais essayer de sortir avant la pluie, la sortie a été de courte durée mettons.



MARDI Le 16 octobre, Pleut pas mais pas chaud 7°C

Collation: pattes ours. Ensuite un peu de causerie sur le réel et l'impossible. Nous sortons des petits et gros jouets, des images, des livres de contes et élaborons sur les possibilités du réel et surtout sur les dimensions pour savoir ce qui est possible de faire (ex: entrer un gros objet dans un petit) l'éléphant avec des lunettes dans ce conte parle t'il vraiment, il sait lire? Marche t'il sur deux pattes ? Non, mais pour le plaisir de rêver et imaginer c'est agréable de penser que tout est possible. Notre ami Harry se prononce et dit: c'est drôle! Comme des clowns dans un cirque. Voilà! Et oui, comme des blagues, des histoires bizarres. Des pitreries de clowns qui tombent, glissent, pleurent et rient spontanément . Rire ça fait du bien. Rire c'est un besoin. Comme dans la chanson de Tipididou que les parents vont faire bientôt. Ô||Ô!
                                                                                                          
Ensuite on se place sur nos collants pour pratiquer notre spectacle. J'imite un spectateur qui vient voir leur presque leur performance. Ha!Ha! Tout va bien mais certains restent accrochés et ont de la difficulté a passé aux prochaines chansons. Quelques petites chicanes mais tout se replace et câlins d'excuses doivent être fait sans que je me répète. Tu blesses un ami, tu consoles l'ami. Et tu vas réfléchir sur la chaise verte et répond au questionnaire fatiguant de Carole qui affiche ses gros yeux fâchés. Pourquoi, je te dépose sur la chaise ? Bla bla bla! Les amis aimeraient continuer la pratique encore mais faut s'arrêter pour le dîner.

L'odeur du jambon aux canneberges et pommes en mijoteuse sent vraiment bon. Les amis commencent à avoir faim. On s'installe un ti peu plus tôt pour avoir la chance de sortir après le repas du dîner. Carole a été voir dehors et paraîtrait qu'il fait assez chaud pour profiter de cette belle température. Tous très bons appétits d'ogres sans exception. Caleb à sa dernière bouchée aimerait aller s'étendre. Le temps de passer le balai et nettoyer, il dort déjà. Les amis graduellement sortent de table et passent à la salle de bain. Harry, Hubert et Léonie sortent jouer un peu dans les feuilles, pendant que je prépare et couche les petits en haut. Tous belles siestes mais ceux qui ont joués dehors après le dîner, pas évident à réveiller. Au réveil, on s'accélère et sortons jouer dehors.


MERCREDI Le 17 octobre, superbe journée d'automne, frais et beau.

Avant l'arrivée des amis Hubert m'aide à découper des tubes de carton qui serviront aux bricolages des hiboux. Éléonore s'occupe d'aller chercher les contenants pour déposer tout les petits morceaux. J'en veux un gros pour tracer une lune, un moyen pour déposer les plumes et un petit pour déposer les yeux de hiboux. Je demande à Hubert de répéter et il réussi comme un grand. Nous aidons Éléonore à placer les contenants en ordre. Elle retourne jouer. Après avoir mêlé les contenants volontairement, elle repasse à la table et replace tout en ordre. Bravo!
Collation; les amis épluchent chacun leur pomme slinky à la manivelle. C'est drôlement meilleur et moins de pelure surtout. On se fait une bonne compote de pomme avec une dizaine de pommes. Ensuite, Harry termine son hibou pendant que les amis s'amusent en jeux libres. Pas toujours libres car nous avons des dominateurs qui doivent apprendre à négocier. Laisser libre recours aux plus jeunes pour choisir leurs jeux aussi. Les polices se multiplient chaque jour mais aucune d'accord avec les mêmes lois. Mettons que les amis s'obstinent 2 à 3 sur supposément des nouvelles lois (que je ne connais pas), 2 autres pleurent ou chignent et d'autre se moque 1 surtout qui imite Hubert qui est pas content et chigne, une petite imitation du pleure d'Hubert qui ressemble étrangement à Tarzan qui semble être prie dans une lienne se fait entendre. HaHa! Par Olivier.
Au dîner tous bons appétits et ils nous restent encore assez de temps pour sortir avant la sieste. Caleb reste sur son matelas en bas, trop fatigué. Les 3 autres grands montent en haut mais d'abord pour avoir ce privilège de sortie avant la sieste, faut savoir mettre son manteau et pantalon de toile seul en bas avant de monter. Bravo! 12:45 Tous les 3 habillés, il ne reste qu'à zipper par Carole. Prochaine étape pour Hubert et Léonie. Harry acquis.
Pendant leur entrée vers 13:45, Mlle Éléonore dans son parc qui ne dort pas encore, décide de changer sa couche de caca seule. J'entre juste à temps, pourtant la porte ouverte j'entendais pas de bruit. Je la croyais endormie. Et la caméra pour en bas affichait un Caleb dans les limbes très profondément endormi. Aucun soucis, ben non ça l'air! Les grands retournent en bas pour la sieste, un peu d'obstination à savoir qui fait qui fait quoi. Du blabla quoi...Caleb se réveille, perdu un peu, arrive à se rendormir mais tournoie pas mal. Nous ressortons en fin de journée jouer dehors.


JEUDI Le 18 octobre, superbe journée fraîche en matinée qui se réchauffe agréablement vite.

Vite, vite, vite, nous rangeons avant la collation et prenons une collation rapide: pattes d'ours mélasse. Nous sortons jouer dehors avant le dîner. 10:30 Déjà un beau 20°C sur le balcon. Heureusement pour nous qui avons besoin d'ensoleillement et de chaleur. Mathis s'améliore beaucoup, il accepte plus facilement le partage. Il constate le plaisir de l'ami et l'échange de sourire devient une forme de résultat payant. Les amis deviennent moins méfiants à son approche. Bravo! Nous ramassons et jouons dans les feuilles, on se balance dans la grande balançoire de grand par ce qu'il y a plus de places dedans. C'est un autobus qui se rend au Zoo et les amis nomment les animaux qu'ils observent et mentionnent ce qu'ils font. On ricane beaucoup car il y a des animaux qui font des choses impossibles à faire. De plus, il y en a bien trop hors des cages, un lion glisse dans la grande glissade du module avec une girafe qui doit plier son cou comme une débarbouillette coin à coin. Je demande aux amis où sont les coins dans son cou? Un grand silence et j'entends: c'est pour rire voyons Carole! T'as vu ...Je souris car je trouve ta blague bien drôle. Zencore, on s'amuse à inventer des trucs bizarres et impossibles. Nous rentrons pour le dîner, le temps de vider les poches de sable, car 2 amis ont tendance à déposer du sable dans les petites poches sur les côtés de pantalon en toile. Donc, tous doivent secouer leurs pantalons sans oublier les rebords des pantalons. Ceci est possible et ce n'est pas des blagues. Du sable dans la maison, c'est des mauvaises surprises pour Carole et vos parents.

Bons appétits au dîner, Hubert et Éléonore ont de la difficulté de plus en plus à manger leurs légumes et aucun effort à goûter aussi. Ils poussent leurs assiettes, surtout Hubert (j'ai pu faim) et ben sur, sa soeur l'imite. Les amis ont commencés à faire pareil. Tututu! Nos deux amis devront pour un temps manger à la petite table sans les camarades. Le temps de conserver leurs assiettes devant eux, fini ou pas, sans la pousser au centre de la table. Léonie et Harry mangent tout ce qui reste, c'est presque une compétition à les voir. Léonie n'en rote et abdique après avoir vue Harry à même le chaudron gratter le fond. Harry émule de Léonie, vice versa!!! Nous sortons encore après notre dessert de crème glacée pour ceux qui mangent leurs légumes. Il fait encore tellement beau et chaud, une semaine très appréciée. Belles siestes, Léonie aujourd'hui devient une grande fille, elle n'a plus besoin de suce pour sa sieste. Elle en est fière et moi aussi, papa, maman, Édouard, je crois aussi. Félicitations! Nous sortons terminer notre journée dehors.
















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